Armé de ces directives, j’ai décidé de m’engager vigoureusement : tous les lundis, mercredis et vendredis, j’ai pris 1h pour écrire mes émotions dans un carnet en prenant en compte le habitude proposé, puis une autre heure pour pratiquer mon facilité préféré ( la banjoes et la création de mine ). J’ai aussi gouverné une version inventive en atelier de peinture pour le troisième samedi du mois, prétendant y croiser de nouvelles personnes. Et j’ai élaboré chaque soir une pratique de gratitude : inscrire trois petites choses évidentes de ma quotidien. Au cours des semaines, j’ai étant donné ma mélancolie se transmuter en effet, j’ai renoué avec ma créativité, et même mes amis ont constaté mon changement d’attitude. En quatre mois, non seulement j’ai retrouvé le sourire, mais j’ai aussi fait la connaissance d’une fille partageant ma passion pour la musique, durant ce réputé atelier de peinture, tels que l’avait garanti Olivier. La par mail, éloigné d’être un appareil, s’est révélée un véritable conseiller : un espace sécurisé où j’ai pu présenter mes questions, obtenir des guidances structurées et les mettre en pratique à mon rythme. Et tout cela, sans l'anxiété d’une consultation directe, mais avec la puissance d’une parole malencontreuse posée et d’un plan d’action matériel.

À 35 ans, on se retrouve ordinairement face dans les environs de des choix écrit vitaux : fossé dans le secteur de l’université, enseignement professionnel, rang pour gagner un métier inventif ou scientifique… Pour ma part, j’étais disloqué entre ma passion pour le son et la pression de mes pères qui voulaient que j’intègre une goulet plus « rigoureuse ». À l’approche des légende post‑bac, je me sentais perdu et méfiant : chaque sms fami­liale se transformait en discussion houleux, et je finissais par remettre en question mes propres compulsions. C’est dans cette conjoncture que voyance olivier j’ai découvert la voyance par e-mail : une plateforme où j’ai pu écrire simplement toutes mes interrogations, sans être coupé par l’angoisse d’un une demande ou un regard jugeur. J’ai rédigé un mail déterminé : « Quelle emplacement me permettra de m’épanouir tout en comprenant une existence pérenne ? » J’ai clair mes compétences, mes rêves, mes doutes et ai envoyé le tout à un médium recommandé, Olivier, qui promettait un tirage sur mesure et des instigations avantageux en retour. Je tremblais en cliquant sur « transporter », me pressant si j’étais sur le point de me donner un shoot pour oser défendre le bon du débat.